On s’imaginait un retour au bureau façon James Bond girl sortant de l’eau : démarche assurée, affichant un sourire blanc contrastant parfaitement avec notre mine hâlée. Mais c’était sans compter sur le maudit « effet rebond ». Un phénomène courant au retour des vacances et qui provoque une éclosion de points blancs une fois l’exposition au soleil terminée. Comment traiter l’acné post-vacances ?
Mais pourquoi ? Parce que la vie est trop injuste ? Oui aussi, mais surtout parce que le soleil possède des vertus anti-inflammatoires qui font des merveilles sur les peaux grasses et les boutons en particulier. Le revers de la médaille, c’est qu’exposée aux UV, la peau a tendance à réagir, à se protéger et à s’épaissir, laissant ainsi le sébum s’accumuler. Et dès que la peau revient à la normale, on bourgeonne.
On fait quoi ? On soigne et on assainit. On n’a pas dit « on perce et on décape ». On sait que c’est ultra-tentant mais vraiment, si vous en êtes capable, ne chipotez pas aux boutons. Dans tous les cas, le risque de faire pire que mieux est garanti. On n’agresse pas non plus la peau à coups de gommages à gros grains quotidiens. On revoit sa routine beauté pour limiter les dégâts.
1. On démaquille et nettoie en douceur. Agressée, la peau va réagir en produisant plus de sébum. On évite à tout prix ce cercle vicieux. On se tourne vers les gammes spécialisées qui contiennent les bons dosages pour purifier sans irriter.
2. On traite en profondeur. Avec un sérum ciblé qui empêche la prolifération des imperfections et qui en limite les dégâts tels que les pores dilatés, les cicatrices cutanées…
3. On hydrate régulièrement. Matin et soir, car même les peaux grasses ont besoin d’hydratation pour être en pleine santé. On choisit un soin adapté, avec une texture légère, qui va traiter l’acné en profondeur et sur le long terme.
4. On booste le traitement. Une à deux fois par semaine, on applique un masque détox aux propriétés antibactériennes – souvent à base de charbon, d’argile ou de boue – capable d’absorber l’excès de sébum et de réguler sa production.